ATTENTION !!
Certaines roues arrières ne s'ôtent qu'aprés démontage de ou des étriers de freins, suivant que l'étrier est positionné en avant ou en arrière du disque... à vous de voir dans quel ordre çà passe...
Bon, action:

Fastoche, le B.A. BA...

Voici une bien belle vue.
En haut, l'ensemble roue libre de démarreur, au milieu à droite la queue de vilo et en bas, l'axe primaire et le fameux joint dans sa portée.

On se rapproche doucement du joint, c'est un animal peureux et craintif et qui n'aime pas qu'on le touche, même des yeux...

Tac.
Profitant d'un de ses nombreux moments d'inattention, on lui a subrepticement collé la queue de l'extracteur dans le logement de bout d'arbre (que l'on aura pris soin de protéger au moyen d'une douille superposée) et les griffes de l'extracteur dans sa partie interne, en dégageant au besoin la lèvre interne qui pourrait gêner à la bonne mise en place des griffes.
Quelques coups de clé là-dessus, et....

...miracle de la tèchenique, çà sort.

On admire au passage le beau roulement d'arbre, d'une taille à ne pas se laisser impressionner, sans dèc...

Aprés graissage des lèvres intérieures, mise en place du nouveau joint en le tapotant légèrement avec un maillet plastique.
Le bleu autour du joint est un produit bloquant, d'autres joints sont cerclés de caoutchouc crénelé, le but étant bien évidemment de maintenir le joint en place.

C'est l'outil miracle, celui par qui on économise bien du temps et des efforts.
On le positionne sur le joint, l'évidement en son centre (côté gris) lui permet de se superposer au bout d'arbre dépassant du carter, et puis l'on frappe du côté du manche (noir...) de façon à enfoncer la pièce de manière homogène.
La mise en place est complète quand le haut du joint affleure le plan de joint.

VOILOU ! :

Allaye, c'est torché, finito, on passe à autre chose, le changement du roulement d'alternateur, par exemple...